Introduction

Voyons en premier la définition du terme dîme ou dime (du latin decima, dixième)  « le dixième de ou la dixième partie de » — est une contribution (10 %), habituellement en soutien à l’assemblée chrétienne locale.  Elle reste un acte de générosité pour un croyant, sans obligation mais libre de cœurs devant le Seigneur.

Il faut premièrement relever que les Israélites devaient payer selon la loi bien plus de 10 % ! En effet, on trouve la dîme dite « des Lévites », Lévitique 27:30-33 : « Or toute dîme de la terre, tant du grain de la terre que du fruit des arbres, est à l’Eternel ; c’est une sainteté à l’Eternel. Mais si quelqu’un veut racheter en quelque sorte que ce soit quelque chose de sa dîme, il y ajoutera le cinquième par dessus. Mais toute dîme de bœufs, de brebis et de chèvres, [savoir] tout ce qui passe sous la verge, qui est le dixième, sera sanctifiée à l’Eternel. On ne choisira point le bon ou le mauvais, et on n’en mettra point d’autre en sa place ; que si on le fait en quelque sorte que ce soit, la bête changée et l’autre qui aura été mise en sa place, sera sanctifiée, [et] ne sera point rachetée. » (Trad. David Martin)

– Cette dîme servait à la nourriture ou pour le service des Lévites. On pourrait dire actuellement que c’est la part qui revient à l’église pour payer les serviteurs de Dieu selon la loi du livre d’Exode. Elle était aussi utilisée par les Juifs dans son sens spirituel et matériel, un impôt spirituel pour aider les démunis (orphelins, veuves, étrangers)

Nombres 18.21-26 (SEG)

21 « Je donne comme possession aux fils de Lévi toute dîme en Israël, pour le service qu’ils font, le service de la tente d’assignation. »

La Dîme dans l’Ancien Testament

Genèse 14:18-20.

Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin ; I1 était sacrificateur du Dieu Très-Haut. Il bénit Abram, et dit : Béni soit Abram par le Dieu Très—Haut, maitre du ciel et de la terre. Béni soit le Dieu Très-Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains. Et Abram Lui donna la dîme de tout.

Nous voyons que la dîme était un signe de respect pour quelqu’un d’important qui sert notre Seigneur Jésus-Christ.  Abranham a donné la dîme du butin de guerre à Melchisédek, roi de Salem et sacrificateur du Dieu Très – Haut. Ce geste était une marque de respect envers d’une personne plus importante que soi.

Dans l’histoire biblique, la dîme revêt plusieurs significations : Elle indiquait le rachat d’un vœu fait à Dieu. Jacob avait fait un vœu à Dieu à Béthel. «Si Dieu est avec moi et me garde sur la route où je vais, s’il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir, et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors… je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras» (Genèse 28.20 – 22).

Malachie 3:8-12.

Un homme trompe-t-i1 Dieu ? Car vous me trompez, Et vous dites : en quoi T’avons-nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, Et vous Me trompez, la nation tout entière : Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’i1 y ait de la nourriture dans Ma maison ; mettez-Moi de la sorte a l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si Je n’ouvre pas pour vous les écluses des Cieux, si Je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. Pour vous Je menacerai celui qui dévore, et il ne vous détruira pas le fruit de la terre, et la vigne ne sera pas stérile dans vos campagnes, dit l’Éternel des armées. Toutes les nations vous diront heureux, car vous serez un pays de délices, dit l’Éternel des armées.

Dans se texte de  Malachie 3, en parlant à nos ancêtres (verset 8) et à nous tous, Dieu déclare : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, et vous dites : En quoi t’avons-nous trompé ? Dans les DIMES et les OFFRANDES. » Ici, Dieu indique à nos peuples (les israélites modernes) qu’ils sont en train de TROMPER le Créateur, de même que Son Œuvre actuelle !

Malachie 3.10 (SEG) : « Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. »

Dieu nous suggère de Le mettre à l’épreuve pour recevoir Ses promesses et bienfaits.

Deutéronome 14 : 22 – 23 (SEG)

« Tu lèveras la dîme de tout ce que produira ta semence, de ce que rapportera ton champ chaque année. Et tu mangeras devant l’Éternel, ton Dieu, dans le lieu qu’Il choisira pour y faire résider Son nom, la dîme de ton blé, de ton moût et de ton huile, et les premiers-nés de ton gros et de ton menu bétail, afin que tu apprennes à craindre toujours l’Éternel, ton Dieu. »

Donner la dîme est une façon de nous enseigner que Dieu doit être notre priorité No 1.Deutéronome 16.17 (SEG)

« Chacun donnera ce qu’il pourra, selon les bénédictions que l’Éternel, ton Dieu, lui aura accordées. »

Dieu dit que notre offrande doit être l’honnête reflet de ce que nous avons reçu. C’est dans la Bible

Exode 25:1 : L’Eterne1 parla à Moise, et dit : Parle aux enfants d’Israël. Qu’i1s M’apportent une offrande ; vous la recevrez pour Moi de tout homme qui la fera de bon cœur.

Proverbes 3.9 (SEG) : « Honore l’Éternel avec tes biens, et avec les prémices de tout ton revenu. »

Avant de commencer à dépenser, nous devons rendre honneur à Dieu en lui donnant en premier lieu Sa part. C’est dans la Bible.

Versets bibliques à lire : Genèse 28 : 22 ;  Deutéronome 12 : 6 ;; Deutéronome 26 : 12 ; I Samuel 8 : 15 – 17 ; II Chroniques 31 : 5 ; Néhémie 10 : 37 – 38 ; Amos 4 : 4.

La Dîme dans  le Nouveau Testament

Plusieurs versets bibliques montrent que la dîme est un enseignement du Nouveau Testament, dispensé à la fois par Jésus et par Paul.  Voir les versets bibliques suivants: Luc 11 : 42 ; Luc 18 : 9- 14 ; Hébreux 7 : 2 – 9

Matthieu 23.23 (SEG) :

« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : c’est là ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses. »

Jésus ne reprochait pas aux gens le fait qu’ils payaient la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, mais il leur reprochait le fait qu’ils faisaient toutes ces choses sans pratiquer la miséricorde envers leurs frères.  Jésus leur a dit que c’est exactement la miséricorde et l’amour de Dieu qu’il fallait pratiquer en tout premier lieu, sans négliger les autres choses, c’est-à-dire, le paiement de la dîme de tous leurs revenus.  Jésus voulait leur faire comprendre que la priorité en tout, c’est d’abord la miséricorde ; ce qui est la grâce envers les autres.  Jésus n’était pas contre la dîme lorsqu’on lit attentivement les versets sus-énoncés.  Au contraire, il leur a demandé de ne pas la négliger, mais de pratiquer la miséricorde avant tout.

– I Corinthiens 9.13-14 (BFC) : « Vous savez sûrement que ceux qui sont en fonction dans le temple reçoivent leur nourriture du temple et que ceux qui présentent les sacrifices sur l’autel reçoivent leur part de ces sacrifices. De même, le Seigneur a ordonné que ceux qui annoncent la Bonne Nouvelle vivent de cette activité. »

Dans I Corinthiens 9 : 14, Paul a dit aux Corinthiens que les prédicateurs de l’Evangile dans le Nouveau Testament, pour vivre,  doivent utiliser le même procédé utilisé par les fonctions sacrées ( Sacrificateurs et Lévites ) dans l’Ancien Testament. Au verset 13 de I  Cor 9, Paul leur a rappelé que les fonctions sacrées de l’Ancien Testament vivaient des dîmes et les offrandes ; puis au verset 14, il dit qu’il faut faire de même dans le Nouveau Testament.

Nous voyons que l’expression «  de même » employée par l’apôtre indique une comparaison entre l’Ancien et le Nouveau Testament.  Or, nous savons que le moyen utilisé par les fonctions sacrées de l’Ancien Testament pour se nourrir, c’était le paiement de la dîme qui est la dixième partie des revenus des Israélites, selon Nombres 18 : 1 à 31 et Lévitique 27 : 30 à 34, et celui des offrandes.

II Corinthiens 9.7 (SEG) : « Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. »

Si vous voulez plaire à Dieu, Donnez avec joie,

1 Corinthiens 16:2 « Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu’il pourra, selon sa prospérité… »

Ceci nous donne un éclairage sur le sujet, que les chrétiens du temps apostolique  mettaient à partune partie de leurs revenus pour l’œuvre de Dieu.

Je vous encourage à lire 2 Corinthiens, chapitres 8 et 9 dans la Bible pour approfondir le sujet.
Nos dîmes et nos offrandes sont vraiment indispensables pour beaucoup de points essentiels dans l’assemblée chrétienne locale dont nous faisons partie.
C’est  essentiellement soutenir le ministère mis de coté par Dieu, précisément votre pasteur, et subvenir aux multiples besoins au sein de l’assemblée.

2 Corinthiens 9:6-10:
Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu peut vous combler de toutes ses grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre, selon qu’il est écrit: Il a fait des largesses, il a donné aux indigents; Sa justice subsiste à jamais.  Celui qui fournit de la semence au semeur, et du pain pour sa nourriture, vous fournira et vous multipliera la semence, et il augmentera les fruits de votre justice.

A qui appartient la dîme ?

Le Prophète de Dieu, William Branham, nous rappelle que dans la Bible il est dit dans Nombres 18 : 30 – 31 que la Dîme est le salaire des Lévites.  Normalement un Sacrificateur ne doit pas travailler puisqu’il travaille déjà dans l’œuvre du Seigneur au service de l’assemblée. Sa part, a dit la Bible, c’est la Dîme (Nombres 18 : 20 – 21 et 30 – 31 ).

. N’oublions pas que frère William Branham dans les premières années de son ministère, il a exercé un métier. Il nous a montré un grand équilibre pour l’utilisation des dîmes perçus dans l’assemblée locale  en demandant simplement un salaire mis de coté pour lui.

Le prophète encourage les bien-aimé(e)s de l’assemblée locale à soutenir une œuvre ou une personne (missionnaire, évangéliste ou autre), de manière libre selon la mesure de chacun. Et aussi pour une action spécifique: rénovation ou agrandissement de locaux, soutien à l’impression ou la diffusion d’ouvrages chrétiens, etc.

Citations tirées des messages du prophète William Branham

QUESTION ET REPONSES   N° 8   DU 15 OCTOBRE 1961

Question : Serait-il mal d’utiliser les dîmes pour les fonds du bâtiment de l’Eglise ?

176   Eh bien, voici une petite chose délicate pour l’église, maintenant.  Non, normalement les dîmes doivent aller au prédicateur.  C’est vrai !  Dans la Bible, ils avaient un coffret qu’ils plaçaient à la porte du bâtiment, dans l’Ancien Testament.  Ce coffret était un tronc où les gens mettaient quelque chose pour la réparation…Vous l’avez souvent lu dans l’Ancien Testament.  C’est comme ça qu’ils entretenaient les bâtiments et autres…Toutes les réparations du bâtiment étaient prélevées sur ces fonds.  Mais un dixième de cela – un dixième, les dîmes, toutes les dîmes allaient à leurs prêtres, leurs pasteurs ; oui les dîmes ne doivent aller à rien d’autre.

117      Je connais des gens qui prennent leur dîme et la donne à une veuve.  Ce n’est pas bien.  Si vous avez quelque chose à donner à une veuve, donnez-le lui, mais ne lui donnez pas l’argent de Dieu.  Ce n’est pas le vôtre en premier lieu.  C’est celui de Dieu.

178              Si vous m’envoyez en ville acheter un pain, que vous me donniez vingt-cinq centimes pour acheter un pain et que je rencontre quelqu’un dans la rue…et que je lui donne les vingt-cinq centimes, voyez-vous, je lui donnerais votre argent.  S’il me demande quelque chose, qu’il le reçoive de cette poche-ci et que je lui donne mon argent ; mais ceci, c’est votre argent, et un dixième de cela est au Seigneur.  Et, Lévi, le prêtre pouvait vivre du dixième.

179              Le dixième doit être une dîme qui doit être apportée à la maison du trésor avec une promesse de Dieu pour la bénir, et qu’il soit éprouvé.  Il a dit : « Si vous ne croyez pas, venez et éprouvez-moi, et voyez si je ne le fais pas. »  Voyez-vous ?  C’est vrai !

180              Les dîmes vont dans l’église pour le pasteur et ainsi de suite, pour qu’il en vive.  Et, alors les fonds du bâtiment sont des fonds tout à fait séparés.  C’est scripturaire.

L’Eglise choisissant la Loi au lieu de la Grâce  Du 16 Mars 1961, Middletown OH

Ils voulaient la loi.  Ils voulaient quelque chose qu’ils puissent faire eux-mêmes.  Ils devaient avoir quelque chose à faire en cela.  Ils devaient faire de grands hommes, ils devaient avoir des œuvres qu’ils pouvaient faire eux-mêmes.  Dieu pourvoira aux œuvres.  Si vous voulez simplement marcher dans la grâce, vous serez plus à l’œuvre  que vous l’êtes maintenant avec votre société d’aide féminine et toutes ces autres absurdités qui ont été ajoutées à l’église.  Ces soupes pour payer le prédicateur.  Où avez-vous trouvé une chose telle que celle-là dans l’Ecriture ?  Les dîmes paient le prédicateur.  Il doit vivre des dîmes des gens.  Mais il fallait que nous ayons quelque chose d’autre….La manière de Dieu est juste.  La dîme et l’offrande vont à Lévi qui représentait les ministres.  Si chacun payait sa dîme, il ne nous faudrait pas ces soupers, voyez-vous ?  Vous avez adopté quelque chose d’autre et renoncé aux dîmes.

ETRE CONDUIT (SUIS-MOI) – A31.10.1965 PRESCOTT, AZ, USA

8          Mais je me souviens d’une petite histoire que je voudrais vous raconter. Un jour il y avait une veuve, elle avait une ribambelle d’enfants, peut-être que ses… le papa de ces petits enfants était mort. Et elle avait seulement deux pennies. Et, une fois, elle passait dans la rue… Et c’était l’argent de la dîme, simplement des pennies comme vous avez épargnés, et elle les jeta dans le trésor de Dieu. Jésus se tenait là et observait. Et je me demandai: «Qu’aurais-je fait si j’avais été là?» Je me serais probablement précipité et j’aurais dit: «Non, non, sœur, ne faites pas ça. Nous – nous ne – n’en avons vraiment pas besoin! Vous en avez besoin pour ces enfants.» Vous voyez? Maintenant, je ne l’aurais pas laissée faire ça. Mais Jésus l’a laissée faire. Vous voyez? Il l’a laissée faire. Pourquoi? Il savait qu’il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. Il savait ce qu’Il ferait pour elle. Vous voyez

QUESTION ET REPONSES DU 23 AOUT 1964 ( SOIR )  ou  COD, page 1034, # 185

307    Une personne devrait-elle payer ses dîmes à un individu, ou un chrétien devrait-il travailler ?

180      Certainement qu’il devrait travailler.  S’il y en a un qui aime travailler, c’est bien le chrétien.

181      Payer la dîme à un individu ?  Cela dépend de quel individu il s’agit, voyez-vous.  C’est juste.  Dans Hébreux 7, la première fois qu’il nous est parler de la dîme, de – de telle sorte sue nous…Attendez une minute, je crois que c’est la question numéro 2.  Non ! Hum ! hum ! Non ! Pour frère…il est dit :  « Deux questions pour frère Branham »

182      Quand…Dans Hébreux chapitre 7, quand Abraham, revenant de la défaite des rois, rencontra Melchisédek, il lui paya la dîme.  C’était Melchisédek, le Roi de Salem, c’est-à-dire, le Roi de paix et le Roi de justice, lequel n’était autre que Dieu lui-même, voyez-vous ?

183      Mais lorsque vous payez vos dîmes…En fait, c’est là où vous recevez votre nourriture que vous devez payer vos dîmes.  « Apportez toutes vos dîmes à ma maison du trésor, dit l’Eternel.  (Est-ce juste ?)  Et mettez-moi par ce moyen à l’épreuve, dit le Seigneur, et vous verrez si je n’ouvre pas les écluses des cieux, et si je ne répands pas la bénédiction en abondance. »  J’invite tout homme ou toute femme qui ne paie pas la dîme à accepter cela.

184      Je pourrais me tenir ici jusqu’au matin à vous raconter simplement ce qui est arrivé quand j’ai compris cela, et dans quelle situation j’étais.  Et je payais mes dîmes, aussi loyalement que possible.  Et lorsque je prenais de l’église ici ou de mes campagnes l’argent qui me revenait, je prenais plus…je donnais le dixième.  Alors je le donnais à des ministres, et je donnais le reste à des ministres.  Et, quand je ne pouvais pas faire cela, alors voici ce que je faisais : je gardais 10% et donnais à Dieu 90%.  Puis, lorsque la loi m’a dit que je ne devais pas faire cela, que je devais prendre…et que si je le faisais, il fallait payer pour tout cela ; alors j’ai dû prendre cela et le faire passer dans des œuvres missionnaires à l’étranger, et ainsi de suite.  Et, j’ai donc dû prélever juste un salaire de 100 dollars par semaines sur cela, et je paie mes dîmes là-dessus.

185    Oui, monsieur.  Je crois au paiement de la dîme.  C’est l’une des            bénédictions de Dieu qui a été prouvée comme telle.  Vous dites : « cela, c’est de l’Ancien Testament ».  C’est du Nouveau Testament aussi .  OUI MONSIEUR !

Importance spirituelle de l’Offrande

I  Corinthiens 16 : 1 – 3

Touchant la collecte qui se fait pour les Saints, faites comme j’en ai ordonné aux Eglises de Galatie.

C’est que chaque premier jour de la semaine, chacun de vous mette à part chez soi, ce qu’il pourra assembler suivant la prospérité [que Dieu lui accordera], afin que lorsque je viendrai, les collectes ne soient point à faire. Puis quand je serai arrivé, j’enverrai ceux que vous approuverez par vos Lettres pour porter votre libéralité à Jérusalem.

Citations tirées des messages du prophète William Branham

UN HOMME QUI FUIT LA FACE DE L’ÉTERNEL –  17.02.1965 JEFFERSONVILLE, IN, USA

13       S’il y a des étrangers avec nous, c’est un principe chez nous de ne jamais quêter, quémander, soutirer l’argent des gens. On fait passer le plateau à offrandes, et c’est seulement… C’est un geste religieux. J’ai souvent essayé de ne même pas du tout faire passer le plateau à offrandes, mais ça ne marche pas. Voyez? C’est que donner, ça fait partie de notre religion. C’est une partie de notre devoir. Peu importe si c’est juste une pièce de dix cents, ou quoi que ce soit, ou une pièce d’un cent, c’est…

14       Vous vous souvenez, un jour Jésus a vu une veuve qui passait, quand les riches mettaient beaucoup de leur trésor dans le tronc. Et cette veuve est passée, avec peut–être quelques enfants affamés à côté d’elle, et elle a donné tout ce qu’elle avait: trois pièces d’un cent. Et Jésus a dit: «Qui a payé le plus?»

15       Maintenant, si moi, j’avais été là, j’aurais dit: «Ne faites pas ça, sœur. On–on, écoutez, on a assez d’argent.» Mais Lui, Il ne l’a pas arrêtée. Voyez? Il–Il savait qu’Il lui réservait quelque chose de mieux au bout du chemin. Alors, vous voyez, après tout, elle avait une maison dans la Gloire, vers laquelle elle allait. Et Il ne l’a pas arrêtée. Il l’a laissée mettre ses trois cents, parce qu’elle tenait à le faire. Et il fallait qu’elle y tienne, alors qu’elle avait des enfants, qu’elle était veuve, et qu’elle n’avait que trois cents pour vivre. Elle–elle devait vraiment y tenir. Alors, vous voyez, quand les gens veulent donner, il faut leur donner l’occasion de le faire.

16       Mais je pense à ceux qui se tiennent là, et les gens qui disent: «Qui veut donner cinquante dollars? Qui veut donner vingt dollars?» Je–je pense que c’est dégradant pour votre–pour votre intelligence. Je–je pense que les gens comprennent qu’il faut de l’argent pour–pour organiser des–des réunions. Et je ne leur ai jamais laissé faire une chose pareille, les administrateurs. J’ai dit: «Quand vous devrez faire ça, alors il sera temps que je retourne au Tabernacle. Alors on n’aura pas besoin de le faire.» Mais je–je crois vraiment qu’il faut faire passer le plateau à offrandes pour–pour que le culte soit complet.

17        Alors, ils feront probablement passer un petit plateau à offrandes, chaque soir, et ils diront quelque chose comme: «Eh bien, maintenant nous allons ramasser l’offrande.» Et ils feront passer le plateau à offrandes, et ce sera–ce sera tout.

UNE DÉLIVRANCE TOTALE –  12.07.1959 JEFFERSONVILLE, IN, USA

38       Et un autre précieux frère, qui était aussi autrefois Canadien, qui a été un homme d’affaires et qui peut prouver au monde qu’on ne peut pas donner plus que Dieu. Lui et son copain ont créé une fondation, dont les fonds sont destinés à la construction d’un bâtiment, ou aux missions étrangères, une fondation. Ils m’ont fait venir à Oakland, pour une réunion, et ils ont dit qu’ils avaient l’argent, qu’ils allaient tout parrainer, par leur fondation.

39       Frère Fred et moi, nous avions essayé ça, avec de l’argent que Frère Fred avait, que je n’avais pas voulu accepter à titre individuel. Et donc, nous avions décidé de donner ça aux Canadiens, de ne même pas ramasser d’offrande, mais ça n’a pas vraiment été un succès. Les réunions se sont bien passées, mais, vu que nous n’avions pas ramassé d’offrande… Peu m’importe que l’église vaille cent milliards de dollars, on le doit quand même à Dieu, de ramasser une offrande. Ça fait partie de l’adoration. Et vous volez ça… Autant je suis contre l’argent et ces choses-là, j’ai découvert que, quand un homme a tort, autant admettre qu’on a tort; en effet, Frère Fred et moi, nous avons constaté que ça n’a pas vraiment donné un bon résultat.

40       Et, Frère Borders, quand j’ai quitté Frère Fred, et que je suis allé vous rencontrer à Oakland, j’ai dit: “Ne faites surtout pas ça. Faites passer le plateau à offrandes, ramassez une offrande, et ce que vous aurez récolté, remettez-le dans votre fondation, pour une autre réunion quelque part.”

41       Et avant la fin des services, Frère Border et ses amis sont venus me dire: “Tout ce que nous avons mis dans la—la réunion est déjà recueilli.”

L’offrande est un geste qui fait partie intégrante du service de culte rendu à Dieu.

Le  prophète William Branham a demandé de la recueillir les offrandes même dans les classes des enfants, montrant l’importance de ce geste pour les croyants en Jésus-Christ de tout âge.

Disons que si l’Esprit de Dieu dans le prophète a jugé bon de nous demander de recueillir l’offrande dans les classes des enfants pendant l’Ecole du Dimanche, cela nous montre à quel point il faut saisir le fait de faire passer l’offrande dans notre culte d’adoration.  Nous voyons donc que ce geste religieux concerne tout le monde jusqu’aux petits enfants.  En effet, c’est bien à nous, parents, d’apprendre à nos enfants à participer financièrement à l’œuvre du Seigneur, pour que, lorsqu’ils seront devenus grands, qu’ils puissent se sentir concernés de le faire.  Le Saint-Esprit veut nous montrer que c’est à nous de le leur apprendre dès leur enfance.  Si une Assemblée doit collecter l’offrande dans les classes d’enfants, cela veut aussi dire que les parents doivent leur donner de l’argent pour mettre dans le plateau, tout en leur enseignant ce que signifie ce geste envers Dieu.

Citations tirées des messages du prophète William Branham

L’ORDRE DE L’ÉGLISE –  26.12.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA

63       Oui, nous l’avons toujours fait ainsi. Ayez l’école du dimanche avant le service de prédication. Cela donne alors l’occasion aux petits de l’école du dimanche d’assister à leurs classes, et de quitter. Et… et s’ils veulent… Les petits enfants ne comprennent pas; et s’il fallait qu’ils restent assis pendant toute la durée de la prédication, et qu’ensuite ils assistent à l’école du dimanche, ces petits seraient épuisés. Que l’école du dimanche se fasse en premier. Fixez une heure; qu’à l’heure dite, l’école du dimanche commence. Le surveillant de l’école du dimanche doit veiller à cela, à ce que l’école du dimanche commence à l’heure, à l’heure fixée, et se termine à l’heure. L’école du dimanche a tant de temps qui lui est alloué, ensuite elle doit se terminer.

68       Vous devriez placer vos classes… Par exemple, une classe réservée aux tout-petits, qui veulent avoir des «flanellographes», ne peut pas convenir à un garçon ou une fille de quatorze ans. Voyez-vous? Vous devriez avoir quelqu’un qui s’occupe d’une classe pour ces petits bébés, une vieille mère, ou quelqu’un comme ça, qui sait comment s’en occuper. Pour les autres classes, je pense qu’il faudrait quelqu’un qui soit davantage en mesure d’apporter la Parole. Voyez-vous? Il devrait y avoir des classes… disons, par exemple, une classe pour ceux de… enfin, au moins trois classes.

70       Je pense que les classes devraient être réparties comme ceci: une pour les petits bébés de cinq ou six ans jusqu’à huit, neuf ou dix ans, quelque chose comme ça. Puis ceux de dix ans jusqu’à quinze devraient être dans la classe des adolescents. Et ensuite, la classe des adultes, pour ceux qui ont au-dessus de quinze ans, parce qu’ils… s’ils sont assez grands pour… De nos jours, ils peuvent se trouver un emploi, et ils veulent presque voter à cet âge-là; alors, ils… ils devraient être capables d’entendre la Parole, de venir dans la salle principale pour cela.

HÉBREUX CHAPITRE 7, PREMIÈRE PARTIE – E15.09.1957 JEFFERSONVILLE, IN, USA

122     Écoutez: Or, c’est sans aucun contredit l’inférieur qui est béni par le supérieur. (Certainement! Remarquez qui il est!)

Et ici, ceux qui perçoivent la dîme sont des hommes mortels… (Il s’agit du sacerdoce de l’ordre des prêtres et des prédicateurs, etc., les hommes qui reçoivent la dîme meurent. Voyez-vous?) …mais ici c’est celui dont il est attesté qu’il est vivant.

123     Pourquoi un homme recevrait-il des dîmes, s’il avait… S’il n’a jamais connu de naissance, ni jamais ne mourra, et qu’il était du commencement à la fin, et s’il n’a jamais eu ni père ni mère ni descendance, et qu’il possédait les Cieux et la Terre en entier et tout ce qui s’y trouve, pourquoi recevrait-il une dîme? Pourquoi demanderait-il à Abraham de payer des dîmes? Le paiement des dîmes est une chose juste. Chaque Chrétien est lié par le devoir de payer la dîme. C’est vrai! Cela n’a jamais été modifié!

QU’EST-CE QUE LE SAINT-ESPRIT? –  16.12.1959 JEFFERSONVILLE, IN, USA

115     Quand Dieu mettait de l’ordre, Il a dit: “Vous les lévites, Je vous ai tous appelés pour que vous soyez des sacrificateurs. Et tous vos frères, les autres, les douze tribus et… les onze autres tribus vous paieront la dîme.”

“Quand vous aurez neuf boisseaux de pommes, versez-en un boisseau aux lévites. Quand vous ferez passer vos brebis dans le—le couloir, ici, prenez la dixième brebis. Peu m’importe qu’elle soit petite ou grosse, qu’elle soit grasse ou maigre, elle appartient aux lévites.

“Maintenant, vous les lévites, quand vous recevrez tout ça, alors vous aussi, vous donnerez la dîme à l’Éternel. Vous ferez l’offrande agitée, les offrandes par élévation, les différentes offrandes. Vous donnerez la dîme à l’Éternel.”

CHRIST EST RÉVÉLÉ DANS SA PROPRE PAROLE – M22.08.1965 JEFFERSONVILLE, IN, USA

13       Je me souviens d’avoir été malade à un certain moment dans ma jeunesse. Je suis sorti de l’hôpital avec une dette d’environ deux mille dollars. Il y avait à l’époque la pharmacie de Monsieur Swaniger; je lui devais une facture de trois à quatre cents dollars pour des médicaments. Il ne me connaissait même pas. Et cet homme… je suis allé le voir. Je ne le connaissais pas, et il les livrait de toute façon; il n’a jamais refusé de les livrer. Je lui ai dit: “ Je suis en dette avec vous. ” Et j’ai dit… Non pas Swaniger, mais je crois qu’il s’agissait plutôt de Monsieur Mason, là à l’angle de l’avenue Court et de la rue Spring. Et j’ai dit: “ Je suis en dette avec vous. Et je… je suis encore terriblement faible, mais j’essaie d’aller travailler. Maintenant, si je ne peux pas vous payer… ” Je venais juste de devenir Chrétien. J’ai dit: “ Monsieur Mason, j’ai, en premier lieu, un devoir envers Dieu, je Lui dois ma dîme. Je veux premièrement Lui payer ma dîme. ” Et j’ai dit: “ Et mon devoir suivant, c’est de payer mes dettes. Mon père est souvent malade, et il… et nous avons… nous sommes une famille de dix enfants. Mais, ai-je ajouté, je… Si je ne peux pas vous payer plus de vingt-cinq cents sur le montant de cette facture à chaque jour de paie… Si je n’arrive même pas à rembourser ces vingt-cinq cents, je passerai vous le dire. Je vous dirai: «Je… je ne peux pas le faire cette fois-ci. ”’ Et, avec le secours de Dieu, j’ai remboursé jusqu’au dernier sou. Voyez-vous? Mais c’est ce que je veux dire, voyez-vous.

Est-ce qu’un chrétien n’ira pas au ciel parce qu’il ne paie pas la dîme ?

QUESTIONS & RÉPONSES (DIEU MAL COMPRIS) – E23.07.1961 JEFFERSONVILLE, IN, USA

45       Je… je ne pourrais pas répondre “oui” ou “non” à cela. Mais je crois réellement que tout chrétien est tenu de payer ses dîmes, car c’est un commandement du Seigneur. Et “heureux celui… ceux qui gardent tous Ses commandements, afin d’avoir le droit d’entrer dans… la Vie, l’Arbre de Vie.” Donc, je crois réellement que payer la dîme est essentiel à l’expérience chrétienne. Car… J’aborderai cela avec une autre question dans quelques instants, je sais qu’il y en a une autre qui se rapporte à cela.

146.    Frère Branham, ne pensez-vous pas que chaque personne qui prétend être chrétienne se doit de payer la dîme… d’apporter ses dîmes dans la maison du trésor du Seigneur? S’il vous plaît donnez des passages bibliques là-dessus.

QUESTIONS & RÉPONSES (DIEU MAL COMPRIS) – E23.07.1961 JEFFERSONVILLE, IN, USA

111     Très bien, si vous… Cela est exact, la Bible dit bien dans Malachie au chapitre 3 : “Un homme trompe-t-il Dieu? Et vous dites, ‘En quoi T’avons-nous trompé?’ Dans les dîmes et les offrandes. Apportez à Ma maison du trésor toutes vos dîmes et offrandes, et mettez-Moi à l’épreuve, dit l’Éternel, et vous verrez si Je n’ouvre pas les écluses des Cieux, et ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance (jusqu’à ce qu’il n’y ait plus assez de place).”

112     Voilà un défi pour n’importe quel individu! Et si seulement j’avais le temps, et que je ne prenne pas ce petit passage biblique que je désire aborder d’ici dix minutes, j’aimerais vous donner mon témoignage là-dessus, et vous dire que, même lorsque j’étais affamé, que ma mère et les miens étaient affamés, et que mon père était malade, je prélevais d’abord mes dîmes pour les donner à Dieu, et vous auriez dû voir ce qui s’est passé. Jamais de ma vie je n’ai vu quelqu’un, homme ou femme, même si vous ne gagnez qu’un dollar par semaine, si vous apportez dix cents sur cet argent, et les placez dans votre maison du trésor, ou l’église que vous fréquentez… si Dieu ne bénit pas cela, traitez-moi d’hypocrite. Oui, monsieur. C’est un défi à n’importe qui. Et tout chrétien, – cela répond à cette autre question, – tout chrétien devrait payer la dîme! C’est exact. Cela devrait être fait.

L’AGE DE L’ÉGLISE DE PERGAME, –  07.12.1960 JEFFERSONVILLE, IN, USA

129     Et qu’avons-nous, dans nos églises protestantes? Des dîners de gala, des distractions, des parties de patinage, des ventes de paroisse, et tout le reste! Vous voyez? Vous savez que c’est la vérité! Eh bien, si c’est la Parole de Dieu, mes amis, c’est la Vérité. Et toutes les églises protestantes sont coupables!

130     Les dîners de gala, les bals dans les sous-sols, et toutes ces mondanités destinées à récolter de l’argent pour pouvoir payer le pasteur et le reste, cela n’entre pas dans le plan de Dieu! Si l’on apprenait simplement aux gens à payer leur dîme, cela suffirait. C’est cela, le plan de Dieu! Dieu a un plan, mais l’homme veut faire son propre plan, hybridant le plan de Dieu!

Conclusion

Lorsque Dieu nous appelle à vivre pleinement sa Parole en nous, Il nous rappelle que nous lui appartenons par sa grâce et prédestinés à la vie éternelle en tant que fils ou participants de son corps.  Et en acceptant la grâce qu’Il pourvue pour chacun de nous, nous consentons à Lui obéir pour le restant de notre vie. Nous nous engageons, et Dieu nous tient responsable de cet engagement.

Plusieurs comprennent la pleine signification de cela qu’après un certain temps, après avoir grandi dans la connaissance de la Parole.

Donc, maintenant que vous êtes armés avec la pleine connaissance concernant le plan Divin pour la dîme et que vous en comprenez le merveilleux usage, vous êtes prêts à récolter de bien plus grandes bénédictions !