Shalom, que la paix soit avec vous !

Je voudrais partager avec vous sur les promesses spirituelles venant de notre Seigneur Jésus-Christ.

Je veux prendre quelques instants pour vous parler de l’importance de l’ouverture des Sept sceaux que nous trouvons dans le livre de l’Apocalypse au chapitre 5 où nous voyons l’apôtre Jean qui se trouve prisonniers dans l’île de Patmos vers 96 de n. è. Il reçoit une série de vision soit plus de 30 ans après le départ de notre Seigneur Jésus-Christ en présence de ces apôtres. Jean reçois ce témoignage de Jésus-Christ et dit : [et j’entendis une voix] qui disait : Ce que tu vois, écris-le dans un livre » (Apocalypse 1 : 9).

Jésus-Christ a non seulement accompli l’œuvre de rachat à la croix, mais aussi l’œuvre de la rédemption à travers d’un livre scellé de sept sceaux qui contient le message sur les événements à venir et la partie des Sept Tonnerres.

Petit rappel, le sens du mot rédemption signifie une action de ramener quelqu’un à un bien ou à une possession. Jésus veut nous ramener à l’identification à part entière, à son corps spirituel.

À son tour, Jésus l’a transmis à l’un de ses disciples, Jean, par l’intermédiaire d’un ange, de sorte que le peuple de Dieu (« ses serviteurs ») puisse avoir une connaissance anticipée de ce qui va se passer à la fin du septième âge (temps ou période) de l’Eglise.  La fin du septième âge de l’Eglise pour la venue d’un ministère prophétique qui devait être une clé pour l’œuvre de la rédemption en ces temps -ci.

Rappelons-nous de cette parole de notre Seigneur Jésus-Christ dans Matthieu 13 :10-11

« Les disciples s’approchèrent, et lui dirent : Pourquoi leur parles-tu en paraboles ? Jésus leur répondit : Parce qu’il vous a été donné de connaître les mystères du royaume des cieux, et que cela ne leur a pas été donné. »

Le terme mystères est traduit du grec musterion qui signifie « la forme non manifestée ou secrète d’un conseil divin, le mystère (de Dieu), ce qui n’est connu que de ceux à qui cela est destiné selon le choix de Dieu.

 L’accomplissement de la vision de la constellation reçue précédemment par le prophète William Branham concernant l’ouverture des sept sceaux s’est manifestée à lui le prophète, le 28 février 1963.

Alors à 60 kilomètres au nord-est de Tucson, Frère BRANHAM A ETE ELEVE DANS UNE CONSTELLATION DE SEPT ANGES ; il lui a alors été dit de retourner à son église de Jeffersonville, où les mystères des Sept Sceaux lui seraient révélés.  Il commence du 17 mars au 24 mars la série de prédications sur la révélation des Sept Seaux.

En tant que croyants du message de la fin des temps, nous nous réjouissons que les sceaux aient été ouverts et nous ont été révélés par l’amour de Dieu. L’Ouverture des sceaux n’est pas l’œuvre d’un homme, mais l’œuvre de notre Seigneur Jésus-Christ. Il a utilisé un prophète à travers notre frère William Branham, un ministère majeur qui est identifié dans les Saintes Ecritures par les textes suivant de Malachie 4 : 5-6, et Apocalypse 10 : 7.

Nous ne voulons surtout pas élever un homme, mais la gloire de Dieu voilée dans un vase de terre à usage d’honneur et précieux. N’élevons pas un homme, mais parlons de la gloire de Dieu et de son amour pour nous qui sommes les fils de Dieu, des instruments et des participants de sa nature.

Revenons sur les événements bibliques vécus par l’apôtre Jean. Tout d’abord, il a pleuré quand il découvre que personne n’est digne de briser les sceaux et d’ouvrir le livre (rouleau). Ensuite, il est soulagé quand on l’informe qu’il y a quelqu’un qui était digne pour le faire. Cela devrait nous donner un moment pour faire une pause et réfléchir à la signification de ce livre et de son contenu.

Au verset trois, nous trouvons exactement cela : aucun homme dans le ciel, la terre ou la tombe n’a été jugé digne de réclamer et d’ouvrir le livre des sept sceaux. Je vais vous ouvrir dans les Écritures dans le livre d’Apocalypse 5 : 1-4 et prendre le temps de bien comprendre la réalité de son contenu.

5 :1 Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux.

5 :2 Et je vis un ange puissant, qui criait d’une voix forte : Qui est digne d’ouvrir le livre, et d’en rompre les sceaux ?

5 :3 Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder.

5 :4 Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d’ouvrir le livre ni de le regarder.

Nous voulons déterminer ce qu’est ce livre. Ce faisant, examinons chaque aspect de ces versets. Le livre est dans la main droite et la main droite signifie pouvoir ou autorité. Jean a vu ce livre dans la main droite de Dieu lui-même, le propriétaire originel de toutes choses.

Nos traductions bibliques, l’appelle un livre, mais il s’agit en réalité d’un rouleau, comme on le faisait à l’époque. Le livre a été écrit à l’intérieur et à l’arrière. La procédure normale est que le livre contient simplement une écriture. Mais ce parchemin a été écrit à l’intérieur et à l’extérieur. Cela semble nous indiquer que ce parchemin est unique en son genre. Enfin, au verset 1, nous voyons que le livre a été scellé avec sept sceaux. Comme dans l’image ci-dessus, il y a sept parties dans ce rouleau scellé de sept sceaux dont le dernier sceaux (le septième) termine la fermeture des six autres seaux.

Dans le verset deux, nous trouvons un ange fort qui pose la question « Qui est digne d’ouvrir le livre, et d’en rompre les sceaux ? »

Ce verset renforce le caractère spécial de ce livre car il ne peut être ouvert par quiconque. Puisque le livre était entre les mains de Dieu, nous considérons que le livre n’est pas pour Dieu lui-même. L’ange fort a fait la proclamation et nous supposons donc que ce livre n’est même pas pour les anges. Il faut trouver un homme digne d’ouvrir le livre.

Au verset trois, nous trouvons exactement cela : « Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. »

Les 24 anciens n’ont pas été jugés dignes, Jean n’était pas digne et aucun des prophètes de l’époque. Personne n’était digne. En conséquence au verset quatre, Jean pleure beaucoup.

« Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d’ouvrir le livre ni de le regarder. »

Jean pleure parce qu’il est découragé et sans solution. Ce livre était si important que Jean perdit tout espoir parce que personne « ne fut trouvé digne d’ouvrir le livre »

Quelle est la signification de ce livre (rouleau) ? Continuons à lire dans les Ecritures.

Reprenons le chapitre 5 au verset : 5-6  

5 :5 Et l’un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.

5 :6 Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre.

Amen ! Un des vieillards (ancien) a informé Jean qu’il n’avait pas besoin de pleurer. Il y avait une solution au problème et la nécessité d’ouvrir et de révéler le contenu du livre. L’ancien l’informe que le lion de la tribu de Juda, la racine de David, a triomphé.

Le rôle que Jésus-Christ joue en tant que Lion le désigne en tant que Roi des rois et Seigneur des seigneurs dans sa position durant le règne millénaire. Cela montre que le jugement arrive et que le royaume est proche. Il dit que le Lion a vaincu, conquis ou vaincu pour ouvrir le livre et en rompre les sceaux. Donc, pour avoir le droit de réclamer et d’ouvrir le livre, il fallait vaincre.

Avant cela, dans le livre de l’Apocalypse, Jean n’avait jamais vu l’Agneau. Alors sortis de nulle part au milieu de la scène du trône, les quatre animaux et les anciens était un agneau qui avait été tué. On a dit à Jean que le Lion avait vaincu et quand il a regardé, il y avait un Agneau debout au milieu du trône et des bêtes et des anciens comme il avait été tué. Il avait été caché de la scène. Il s’était assis pour intercéder « pour l’ignorance du peuple ». Tel est le rôle de Jésus-Christ en tant qu’intercesseur. Cela nous ramène au travail du grand prêtre le jour des expiations. Il a pris le sang dans le lieu très saint et a aspergé le propitiatoire sept fois. Chaque sacrifice avait un but spécifique, ainsi, quand les gens connaissaient leur péché, ils devaient faire une offrande le plus rapidement possible. Par ailleurs, le Souverain Sacrificateur y allait une fois par an et faisait une expiation pour les péchés de tout Israël commis par ignorance et donc non confessés.

Jésus-Christ avait accompli son temps d’intercesseur et se levait maintenant pour réclamer sa possession légitime, le rouleau scellé de sept sceaux. Il est clair que Jésus-Christ n’est ni un Lion littéral ni un Agneau littéral. Ce sont des symboles prophétiques. Jésus n’apparaît pas mort, il est dans son corps ressuscité, les mains et les pieds percés, pour nous rappeler son œuvre de rachat et aussi la plénitude de son plan de la rédemption. Jésus n’a pas sept yeux et sept cornes. Ce sont des symboles. Christ a sept Esprits qui sont envoyés dans toute la terre. Ce sont sept messagers célestes qui sont envoyés avec un travail spécifique à faire. Mais le septième messager terrestre a un rôle clé que nous identifions au ministère prophétique de frère Willliam Branham.

Les pleurs de Jean nous amènent à comprendre l’extrême importance de ce livre. Ensuite, la connexion de ce livre avec une personne digne de l’ouvrir le met davantage en valeur, mais je veux continuer dans le chapitre pour vraiment comprendre le but de ce livre sous scellé.

Révélation 5 : 7-10

5 :7 Il vint, et il prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône.

5 :8 Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l’agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d’or remplies de parfums, qui sont les prières des saints.

5 :9 Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ;

5 :10 tu as fait d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre.

Ainsi, le Seigneur Jésus-Christ s’est avancé pour prendre le livre de la main de Dieu. L’homme Christ Jésus intercédait pour nos péchés sur le trône de Dieu et maintenant, il se tient au milieu du trône, des bêtes et des anciens, puis s’avance pour revendiquer le livre comme étant le sien. C’est un livre prophétique et une scène prophétique dont Jean est témoin. Il ne voyait pas un événement contemporain, mais un événement prophétique qui aurait lieu à la fin du siècle. C’est ce qui s’est accompli à l’apparition de la nuée à frère William Branham.

Rappelez-vous les paroles de Dieu données à Daniel au chapitre 12 : 4 que nous retrouvons dans la Bible. « Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. »

Et un peu plus loin au verset 8 à 10

12 :8 J’entendis, mais je ne compris pas ; et je dis : Mon seigneur, quelle sera l’issue de ces choses ?

12 :9 Il répondit : Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu’au temps de la fin.

12 :10 Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l’intelligence comprendront.

En 1963, alors que frère Branham se préparait à recevoir la révélation de chacun de ces sceaux, l’Agneau s’avança et fit sa demande de rachat.

Ce n’est qu’aux temps du septième ange de l’église, que le contenu de ce livre sera révélé. C’est resté un mystère caché jusqu’au dernier et septième âge de l’église. Revenons donc à la signification du livre. Les anges et les anciens sont tombés par terre pour adorer l’Agneau de Dieu et leur cantique était le suivant : « Tu es digne de prendre le livre et d’ouvrir les sceaux parce que tu as été tué et que tu nous as rachetés par ton sang ». Ce terme en grec est agorazo, peut être traduit en français par racheter, mais aussi « acheter ».

Jésus a payé le prix d’achat pour nous. Mais il y a une deuxième partie à racheter et c’est réclamer votre propriété. Vous payez d’abord le prix, puis vous réclamez votre propriété. La rédemption n’était pas complète au Calvaire. Le prix a été payé, mais la demande n’a pas été faite.

Remarquez ce que Paul écrit aux Ephésiens au chapitre 4 verset 30 « N’attristez pas le Saint Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption. »

Le jour de la rédemption était une époque future du temps de Paul.

Regardez ce que l’apôtre Pierre écrit dans 1Pierre 1 :5 « à vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps ! »

Nous voyons ici le salut comme quelque chose qui sera révélé à l’église à la fin des temps. Ceci est précisément lié aux mots donnés à Daniel. Il y aura une ouverture du livre scellé à la fin des temps et cela fera en sorte que beaucoup seront purifiés et blanchis et que les sages le comprendront.

Comme je l’ai déjà dit, en 1963, alors que frère Branham se préparait à recevoir la révélation de chacun de ces sceaux, l’Agneau s’avança et fit sa demande de rachat. Ce livre est donc le titre de propriété de la rédemption, contenant les noms des rachetés et les mystères de la rédemption qui seront révélés à la fin des sept âges de l’Eglise. Il est mort pour acheter le droit à ce livre et à son contenu. Sans prendre ce livre tout était perdu. L’Agneau prend le livre et brise les sceaux un à un. En 1963, Frère Branham a révélé le sens de chacun d’eux. Cela ne pourrait se produire que lorsque ces sceaux ont été ouverts. Dès que le septième sceau est ouvert, tout le livre peut être reçu et révélé individuellement à chaque véritable fils de Dieu, participant de sa nature et destiné à manifester la Parole du Père.

Ainsi, la signification du livre scellé de sept sceaux est qu’il s’agit du titre de propriété de la rédemption et qu’il contient les noms de tous les rachetés et les mystères de la rédemption qui doivent être connus à la fin des temps afin de compléter l’œuvre de rachat. Lorsque Jésus-Christ réclame, ouvre et révèle le livre, il n’intercède plus pour l’ignorance du peuple. Tout le mystère est connu et révélé. L’ignorance ne peut plus être réclamée. Il y a toujours de la grâce et de la miséricorde pour les élus de Dieu, mais maintenant, dans le plan de rédemption, il y a eu une transition. Le salut a été révélé à l’Epouse. Nous n’avons plus d’agneau comme s’il avait été tué, attendant le moment de faire des réclamations de rachat. Apocalypse 10 nous montre la situation dans son ensemble. C’est un article complet en lui-même sur lequel nous entrerons dans les détails dans le futur.

Ainsi, la signification du livre scellé de sept sceaux est qu’il est le titre de rachat et il contient les noms de tous les rachetés et les mystères de la rédemption qui doivent être connus dans le temps de la fin afin de compléter l’œuvre de la rédemption.

D’après Apocalypse 10 : 7-8

10 :7 mais qu’aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s’accomplirait, comme il l’a annoncé à ses serviteurs, les prophètes.

10 :8 Et la voix, que j’avais entendue du ciel, me parla de nouveau, et dit : Va, prends le petit livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre.

Nous savons par témoignage de ces événements marquants, qu’en 1963, le Christ se présente sous forme d’un ange majestueux à travers une nuée avec un livre ouvert, sept tonnerres se font entendre et le septième messager des âges révèle le mystère de Dieu.

Ce livre qui est donné à Jean représentait le type de l’épouse de Christ, qui elle doit manger le livre.

Le fait que ce soit un livre ouvert montre que maintenant, Christ descend pour révéler ce livre et il vient de sept tonnerres jusqu’au septième ange messager, William Branham. Maintenant, le livre sort des mains de celui qui l’a réclamé, Christ, et est donné à son épouse à manger. Elle doit devenir un avec le livre. C’est clairement une nouvelle phase de rachat. Si nous ne mangeons pas le livre ouvert, nous n’éprouverons pas tout le processus de rédemption que Christ a payé au Calvaire. Si nous refusons de manger ce livre, nous refusons l’expiation faite par Jésus-Christ.