Le jour des expiations était le date la plus importante du calendrier hébraïque, on le désignait tout simplement comme « le Jour » ; aujourd’hui, on l’appelle Yom Kippur. (Lévitique 16-30)

C’était également pour les hébreux un jour de sabbat, un jour de repos. Ils appelaient cela aussi le « sabbat des sabbats » Lévitique. 16 –31)

C’était l’unique occasion dans l’année où le souverain sacrificateur pénétrait dans le lieu très saint. (Exode 30-10) (Hébreux 9-7 et 8) la seule date à laquelle les Israélites étaient appelés à s’humilier (Lévitique 16-29).

Le sacrifice de Lévitique 16 était important, il fallait que le souverain sacrificateur entre à trois reprises dans le lieu très saint et que le propitiatoire soit aspergé 7 fois du sang de la victime expiatoire. De plus, l’élimination définitive du péché était préfigurée par une double image ; d’une part le bouc expiatoire était égorgé et d’autre part le bouc émissaire (porteur de tous les péchés) était chassé dans le désert.

Le souverain sacrificateur, entrant dans le lieu très saint, est l’image de Christ pénétrant dans le ciel avec son propre sang (Héb 9.11 et 12). En vertu de ce sang, le trône du jugement devint « trône de grâce » trône expiatoire (Héb 4.16)

 

Signification du sang : (ancien testament)

La valeur de la vie est à la mesure de la valeur du sang. Ce qui donne au sang de Christ son prix infini. En le répandant, l’homme Dieu, sans péché, donna sa vie, car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés. Ce n’est pas le sang circulant dans les veines des animaux sacrifiés, mais le sang répandu sur l’autel qui est efficace (il fallait que le sang coule).

Citation Lévitique  17 : 11 « car la vie de la chair est dans le sang. Je vous l’ai donné sur l’autel afin qu’il serve d’expiatoire pour vos âmes car c’est par la vie que le sang fait expiation »

Les péchés commis au temps de l’ancien testament avaient été provisoirement « couverts » par les sacrifices de Lévitique, mais les exigences de la justice divine n’ont été effectivement satisfaites qu’au jour ou Jésus-Christ est réellement devenu « victime propitiatoire » pour ces péchés « laissés impunis au temps de sa patience » (Rom 3.25). Ce ne furent donc pas les offrandes, mais la croix qui opéra une pleine et complète rédemption.

Le sacrifice de l’animal représentait « l’image » (héb 8.5) des choses parfaites que le Christ allait bientôt réaliser. (héb 10.1)

 

4 Eléments caractérisent l’expiation de Christ représentée par l’A.T:

1- Christ notre substitut, le bouc expiatoire en mourant prend la place du pécheur.

2- Christ, la victime. La loi n’est pas contournée, mais respectée. Sa sentence exige une mort sacrificielle

3- Christ, innocent. L’animal sacrifié devait être sans défaut image de la parfaite innocence de celui qui a porté nos péchés

4- Christ est celui qui expia. Il a expié nos péchés, « comme si » nous ne l’avions jamais fait.

Hébreux 10: 10

Il s’est offert lui-même une fois pour toutes et c’est ainsi que nous sommes purifiés du péché.

Citations tirées des messages de frère William Branham

 

31       Ensuite, il posait ses mains dessus, en confessant ses péchés, et le sacrificateur plaçait ça (ses péchés) sur l’agneau, et l’agneau était égorgé, et—et alors il mourait à sa place. Pendant qu’il était là, que le petit agneau s’agitait et saignait, ses mains étaient couvertes de sang, et ça giclait partout sur lui (alors que le petit agneau bêlait, agonisant), il se rendait alors compte qu’il avait péché et que quelque chose devait mourir à sa place. Par conséquent, il offrait la mort de cet agneau à la place de sa propre mort. Voyez-vous, l’agneau mourait à sa place. Cet homme le faisait alors avec sincérité, du fond de son cœur.

 La Communion, message du 12 Décembre 1965

71       Maintenant: «De même,» verset 25:

  De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.

  Car toutes les fois… (Souvenez-vous, maintenant!)… Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. (Jusqu’à quand? «Jusqu’à ce qu’Il vienne!» Voyez? Voyez?)

  C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.

La Communion, message du 12 Décembre 1965

 

49       Maintenant, pensez à cela: Premièrement, si ce prédicateur avait réfléchi, il aurait vu que, lorsque qu’ils mirent ce vinaigre, ce fiel dans Sa bouche, Il le cracha. Premièrement, Il ne le prit pas. Voyez-vous? Ce ne sont que des moqueurs. Autre chose: Comment ce Jésus de Nazareth, comment Sa vie a-t-elle concordé avec chaque prophétie de l’Ancien Testament? Comment cela put-il être? Cela n’aurait pas pu être, sans avoir été ordonné de Dieu. Sa vie concordait avec chaque prophétie de l’Ancien Testament. Autre chose: Si ces disciples avaient monté cela, pourquoi chacun d’entre eux est-il mort en martyr? Et même l’apôtre Pierre a dit: «Mettez-moi avec la tête en bas, je ne suis pas digne de mourir comme Lui.» Ils prirent André et le mirent de côté sur la croix. Ils scellèrent tous leur témoignage avec leur propre sang. Ils croyaient en Lui, et ils L’aimaient, et ils donnèrent leur vie pour Lui. S’Il était un truqueur, pourquoi auraient-ils fait cela? Vous voyez, les gens ne comprennent pas l’application spirituelle.

L’enlèvement, Message du 4 décembre 1965

 

Il dit: «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux. Sur cette pierre (la révélation spirituelle montrant qui est Dieu, qui est Jésus, et qu’Il est la révélation de Dieu, Dieu fait chair et révélé au monde. Il était dans le monde; Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même et révélant ce que Dieu était, dans un corps de chair)…» – «Tu es le Christ, le Oint, le Fils de Dieu.»

L’enlèvement, Message du 4 décembre 1965

 

Ces disciples n’étaient peut-être pas capables de 1’expliquer mais ils le croyaient, qu’ils puissent l’expliquer ou non. Ils restèrent tranquilles et crurent cela. Comment pouvaient-ils dire s’ils allaient manger Sa chair et boire Son sang? C’était impossible pour eux de le faire. Mais ils Le croyaient, parce qu’ils étaient ordonnés. Jésus a dit qu’Il les avait choisis avant la fondation du monde. Voyez-vous? Ils croyaient cela. Qu’ils puissent l’expliquer ou non, ils le croyaient toujours.

L’enlèvement, Message du 4 décembre 1965

 

Un de mes oiseaux favoris est le rouge-gorge. Maintenant, vous les garçons, cessez de tirer sur mes rouges-gorges, car je ne veux pas que vous fassiez cela. Savez-vous comment il a eu la poitrine rouge, mon rouge-gorge? Un jour, vous savez, il y avait un Homme qui se mourait sur une croix, personne ne voulait L’aider; Dieu avait abandonné cet Homme, et il se mourait. Ses mains étaient percées de clous, Ses pieds et Son côté saignaient, une couronne d’épines était sur Sa tête; le sang coulait sur Son visage. Et voici qu’un petit oiseau s’approcha; un petit oiseau brun. Et observant cela… il se dit que c’était le plus triste spectacle qu’il eût jamais vu. Il savait qu’il n’était qu’un petit oiseau mais, ayant aperçu ces énormes et cruels clous romains enfoncés dans Ses mains, il se précipita avec son petit bec pour essayer de les retirer. Il eut toute la poitrine baignée de sang; dès lors, elle fut rouge. Moi aussi, je désire avoir sur ma poitrine Son Sang comme bouclier, défendant Cela, quand je partirai pour Le rencontrer. J’aime le petit rouge-gorge.

Sur les ailes d’une colombe blanche, Message du 28 novembre 1965

Or, on… Or, on l’utilisait pour les expiations. Pour l’expiation du péché: une colombe. Ou bien pour la lèpre qui est un type du péché, vous apportiez deux colombes: à l’une, on retranchait la tête, on la tournait à l’envers et on en répandait le sang sur l’autre; puis l’autre colombe était relâchée. Et lorsque la colombe s’envolait, elle arrosait le sol du sang de sa compagne, et le sang criait jusqu’à Dieu: «Saint! Saint! Saint est le Seigneur Dieu!»

Sur les ailes d’une colombe blanche, Message du 28 novembre 1965

 

En posant mes mains sur ses yeux, j’ai dit: «Cher Jésus, un jour, une vieille croix rugueuse descendait la rue en cahotant; les épaules ruisselaient de sang, le petit corps frêle s’était presque affaissé sous le fardeau. Un homme de couleur du nom de Simon de Cyrène s’approcha et prit la croix, L’aida à la porter. Je suis sûr que Tu t’en souviens, Père. Et l’un de ses enfants chancelle ici dans l’obscurité, je suis sûr que Tu comprends.»

Sur les ailes d’une colombe blanche, Message du 28 novembre 1965

 

Mais Il a dit: «Espèce de génération de serpents et de vipères.» Il a dit: «Vous avez pour père le diable, vous voulez accomplir ses oeuvres.» Il a dit: «Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez Son sang, il n’y a pas de vie en vous.» Il ne l’a pas expliqué. Il n’avait pas besoin de l’expliquer (alléluia!): c’était pour une autre saison (oui). Il ne faisait que dire ce qu’Il avait à dire: «Je fais toujours ce qui est agréable au Père, et c’est de garder Sa Parole. Si Je ne le fais pas, que Ma vie et Mes œuvres ne correspondent pas à Sa Parole sur ce que Je dois faire, alors ne Me croyez pas, ce n’est pas Moi; mais si c’est le cas, alors croyez les œuvres, à défaut de Me croire, Moi», a-t-Il dit.

Essayer de rendre un service a Dieu, sans que ce soit la volonté de Dieu, Message du 27 novembre 1965.