Que je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis un airain qui raisonne, ou une cymbale qui retentit.

Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toutes la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien.

Et quand je distribuerais tous les biens pour le nourriture des pauvres, quand je libèrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.
Celui qui aime est patient, il sait entendre ; son cœur est largement ouvert aux autres.

Il est serviable, plein de bonté et de bienveillance ; il cherche à être constructif et se plaît à faire du bien aux autres. L’amour vrai n’est pas possessif, il ne cherche pas à accaparer, il est libre de toute envie, il ne connaît pas la jalousie.
Lorsqu’n aime, on ne cherche pas  faire valoir, on n’agit pas de manière présomptueuse. Celui qui se rengorge, s’étale et s’enfle d’orgueil n’est pas inspiré par l’amour.

Aimer, c’est aussi conduire avec droiture et tact. L’amour prend des égards et évite de blesser ou de scandaliser, il n’est pas dédaigneux.

Celui qui aime ne saurait agir à la légère ou commettre des actes malhonnêtes.

Aimer, ce n’est pas d’abord penser à soi, chercher son propre intérêt, insister sur ses droits.

L’amour n’est pas irritable, il ne s’aigrit pas contre les autres. Il n’est pas susceptible.
Quand on aime, on en médite pas le mal et on ne le soupçonne pas chez les autres. Si on subit des torts, on n’en garde par rancune.

Découvrir une injustice, ou voir commettre le mal, ne fait pas plaisir à celui qui aime.
Il se place du côté de la vérité et se réjouit lorsqu’elle triomphe.
L’amour couvre tout : il souffre, endure et excuse. Il sait passer par-dessus les fautes d’autrui.
Aimer c’est faire confiance à l’autre et attendre le meilleur de lui, c’est espérer sans faiblir, sans jamais abandonner. C’est savoir tout supporter, tout surmonter.
L’amour n’aura pas de fin. Les prophéties passeront, les prières en langue cesseront et toutes nos connaissances s’évanouiront.
Notre science, d’ailleurs, est bien limitée, nous ne connaissons que quelques fragments de la Vérité et même nos prédications les plus inspirées n’en reflètent qu’une petite partie.

Mais le jour om la Perfection apparaîtra, ce qui est fragmentaire se trouvera dépassé et toute imperfection tombera.

En somme, trois choses demeurent : la foi, l’espérance et la charité, mais la plus grande d’entre elles, c’est La Charité.

LES PRIERES INSPIREES DE CITATIONS DE F. BRANHAM

Seigneur, par Ta grâce, où que j’aille aujourd’hui, je Te placerai en première ligne ! Si quelqu’un se met en colère contre moi et m’injurie, je Te placerai entre lui et moi. Si ma femme (mon mari) se met en colère contre moi, je Te placerai entre elle (lui) et moi. Si les enfants m’agacent, je Te placerai entre eux et moi. Quoi que je fasse, quoi qu’il arrive, Seigneur, je veux Te placer en première ligne car je ne veux pas que le diable ait la moindre emprise sur moi !

Inspiré par ‘‘ L’influence d’un autre’’  13.10.62

Je m’efforcerai, seigneur, de faire le bien et à être bon. Je ne garderai aucune animosité ni rancune envers personne. Je ne laisserai jamais l’amertume m’envahir car cela te chasserai de ma vie. Peu importe la méchanceté de la personne et le mal qu’elle pourra dire à mon sujet, je n’aurai jamais dans mon cœur une mauvaise pensée contre elle parce que c’est là que le diable s’infiltrera en moi et commencera à agir. Je garderai toutes ces choses couvertes par Ton Amour Divin.

Je ferai du bien à ceux qui me font du mal. Tu as dit : ‘‘ Si vous faites du bien seulement à ceux qui vous font du bien, les publicains n’agissent-ils pas de même ?’’  Ainsi, par ton Saint-Esprit, je serai bon pour ceux qui ne sont pas bon envers moi. Je ferai quelque chose pour ceux qui ne font rien pour moi. Je prononcerai une bonne parole en faveur de quelqu’un qui serait susceptible de parler mal de moi car c’est ainsi que je garderai toute amertume éloignée de mon cœur.

Inspiré par ‘‘ L’Age de Pergame’’ 7.12.60

Aussi, je n’oublierai pas tout au long de ce jour que mon plus grand ennemi, c’est moi-même ! C’est donc lui que je veux vaincre par Ta Présence. Apprends-moi aujourd’hui à me vide de moi-même, à me mettre à chaque pas hors de Ton chemin ! Je Te remercie, Père de m’accorder ce grand don. Je m’attends, aujourd’hui à voir miraculeux se manifester dans ma vie par Ta puissance vivifiante en moi qui me fera toujours vaincre le mal par le bien. Amen !

Inspiré par ‘‘ C’est le lever du soleil’’ et la prédiction du 8.02.95 : ‘‘ Le plus grand don’’

‘‘ Je prends l’engagement envers Lui, ce matin, de tout mon cœur par sa grâce, de rechercher chaque jour, sans cesse, jusqu’à ce que je sente chacune de ces exigences (vertus de la Stature de L’homme Parfait) remplir ma petite stature ; jusqu’à ce que je puisse être une manifestation du Christ Vivant, car il est devenu péché comme moi, afin que je puisse devenir comme Lui, justice de Dieu. Il a pris ma place ! Seigneur, que je prenne la Sienne ; maintenant, parce que c’est dans ce but qu’Il est mot !’’

William Branham – Stature d’un Homme Parfait – 14.10.1962